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Actualité politique belge et européenne

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Message par Louise Mar 19 Juin - 3:34

Vuala, bon, perso je vous conseille de peut-être lire un ou deux article sur un sujet ou l'autre, vu que pour l'exam vous parlerez de ce que vous voulez, comme ça vous connaissez un sujet à fond et c'est bien Smile


Actualité politique (à partir du 20 mai, plus ou moins)

EN BELGIQUE

Pas grand chose d'important du point de vue politique belge (voire rien du tout):

- Charles Michel demande à une concrétisation des mesures quant aux tribunaux des flagrants délits et d'avoir des peines incompressibles afin de mettre fin au sentiment de laxisme de la population. Et ce, malgré le manque de moyens financiers, il demande une exception budgétaire. (volonté politique). Il plaide également pour une hausse du montant maximum des sanctions actuellement fixé à 250euros, ainsi qu'une baisse de la limite d'âge pour de telles sanctions, de 16 à 14 ans. Il demande également un renforcement de la sécurité dans les transports en commun et ) la chasse aux incivilités.

- Elio Di Rupo est déjà critiqué par son parti, qui le dit "aphone", à cause de son manque de communication et des faiblesses de son cabinet. Le parti se retranche derrière la politique de gouvernement. Ces erreurs surprennent de nombreux membres du PS qui craignent que cela n'influence les électeurs et donc provoque de mauvais résultas aux élections communales d'octobre. On l'accuse également de commettre des fautes, notamment durant le voyage vers le sommet de l'OTAN à Chicago, où il est parti en First Class alors qu'un avion de la défense presque vide se rendait au même endroit. Une faute de communication qui a beaucoup fait parler d'elle. (pour plus d'info allez là : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2012-05-23/di-rupo-critique-par-des-elus-ps-le-parti-est-aphone-917401.php , ça sera plus clair et y'a plus de détails)

- Une petite vidéo là : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2012-06-15/milquet-tire-la-liste-cdh-a-bruxelles-921722.php

- Les partis traditionnels en Wallonie (PS ; MR ; CDH et Ecolo) sont en baisse par rapport au mois de mars, et tout ce qui est perdu va aux petits partis (PTB ; RWF ; etc) cependant Elio Di Rupo, Guy Verhofstadt et Joëlle Milquet restent populaires en Wallonie.
Quant à Bruxelles, le PS ; Ecolo et le CDH continuent à s'essouffler. Le MR réussit à faire jeu égal avec le PS. Le FDF est en progression. Elio Di Rupo, Guy Verhofstadt et Joëlle Milquet restent également populaires à Bruxelles.
En Flandre, la N-VA est légèrement en recul, mais continue d'évoluer très loin devant les autres, et Bart de Wever est plus populaire que jamais.

- Le secrétaire général de la FGTB wallonne (Thierry Bodson) demande au PS de se montrer plus vindicatif. Le PS joue en effet dans la modération tandis que le président du MR, Charles Michel "ne se prive pas de faire des sorties qui peuvent mettre le gouvernement dans l'embarras". Le PS "doit répondre aux allégations fréquentes de Charles Michel, le PS ne peut laisser tout dire, il doit se faire entendre"

- Les réduction d'emplois dans la fonction publique se fait attendre et Didier Reynders fait remarqué que Hendrik Bogaert baisse les bras un peu vite. Ce dernier a d'ailleurs déclaré qu'il n'était pas sûr que le nombre de fonctionnaires sera réduit sous cette législature. En effet, des prisons sont en constructions et des problèmes de sécurité ont éclaté à Bruxelles, il faudra 400 agents supplémentaire. De plus, le gouvernement a lancé une réforme des pensions, les fonctionnaires vont rester en poste plus longtemps s'ils le souhaitent. La solution pourrait venir d'un recours accru au temps partiel.

- Du côté du fédéral, Peeters voudrait que cela avance plus vite et déplore la lenteur avec laquelle le fédéral travaille sur la réforme de l'Etat. Même constat pour les autres dossiers fédéraux.

- Elio Di Rupo s'est montré favorable à un léger assouplissement du programme d'ajustement imposé à la Grèce mais a exclu une renégociation en profondeur.

- Un article super résumé : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2012-06-19/reforme-de-l-etat-coup-d-envoi-du-marathon-legislatif-922148.php


DANS LE MONDE

Grèce :

- La question de la sortie de la Grèce de l'euro de pose. Car la Grèce ne respecte pas, selon le ministre français des Finances, ses engagements. Cependant, il a également déclaré qu'il (nous) souhaitait réellement que la Grèce reste dans la zone euro. Mais si la Grèce ne respecte pas son engagement (comme l'a déclaré chef de la gauche radicale grecque, disant vouloir annuler le mémorandum (s'il était élu) imposant à la Grèce des mesures de rigueurs en contrepartie du soutien de l'UE et du FMI).

- Un élu néonazi a également frappé deux députées de gauche lors d'une émission. La violence de cet incident a soulevé une vive émotion en Grèce. Le parti dont venait l'agresseur pourrait se maintenir au parlement alors que cet ex-groupuscule semi-clandestin a réussi à canaliser la colère anti-austérité d'une partie de la population grecque en noyautant les quartiers pauvres du centre de la capitale et en l'absence de réactions des autorités policières et judiciaires face à leurs méthodes notoirement violentes.

- La Grèce risque de manquer de liquidités d'ici fin juin si les bailleurs de fonds du pays coupent leur aide suite au rejet du plan d'aider international dans les urnes le 17 juin. La capacité du gouvernement à remplir pleinement ses obligations dépend de l'approbation des versements à venir des prêts accordés par le FESF (Fonds européen de stabilité financière) et le FMI. Les fonds pour les gouvernement grec vont progressivement diminués passant de 3,8 milliards le 11 mai à environ 700 millions d'euros le 18 juin et à partir de 20 juin ils tomberont dans le rouge, çàd -1 milliard d'euros. La Grèce est engagée depuis 2010 dans un programme de réformes draconiennes exigées par la troïka (FMI, UE et BCE) en échange de prêts. Et si la Grèce rompt ce contrat, elle risque la faillite et la sortie de la zone euro.

Espagne :

- Le chef de file des députés conservateurs allemands, Volker Kauder, estime que l'Espagne devrait demander de l'aide au fonds de secours européens (FESF), à cause de ses banques. En contrepartie d'une aide financière, le gouvernement devra procédé à des fusions, voire à des fermetures de certains instituts bancaires, ce compromis montrerait que la crise espagnole est d'une nature différente de celle de la Grèce et la souveraineté ne serait pas entamée.

- Les pays de la zone euro sont disposés à prêter jusqu'à 100 milliard à l'Espagne pour redresser son secteur bancaire. En échange il n'y aura aucune condition de réformes économiques hors du domaine du secteur financier (les conditions seront données aux banques et non à la population). "Cela n'a rien à voir avec un sauvetage" a affirmé le premier ministre, l'aide étant destinée aux 30% de banques qui ont le plus de difficultés. Cette aide sera considérée comme de la dette publique espagnole, qui va donc (encore) augmenter et devra absolument être remboursée. La Belgique prêterait jusqu'à 1 milliard d'euros. (4% de la somme si l'emprunt se limite à 40 milliards, somme minimale). Ce plan est salué par les bourses.

- La note de l'Espagne a baissé de trois crans, à Baa3 (note de l'endettement de long terme), un revers de plus pour le gouvernement du conservateur Mariano Rajoy qui s'est battu pour prouver sa capacité à se passer de l'aide internationale. Pourtant, cela n'a pas été assez car la note actuelle de l'Espagne est aujourd'hui cinq crans plus bas que quand M. Rajoy est arrivé au pouvoir. (d'où l'acceptation du plan d'aide cité plus haut).

Crise de l'euro :

- Le 13 juin, Herman Van Rompuy s'est entretenu avec François Hollande puis avec Barack Obama au sujet de la crise de la zone euro et ce alors que la crise s'aggrave avec des menaces pesant sur la Grèce et les risques de contagion à d'autres pays de la zone euro (par ex l'Italie). Ces entretiens avaient pour but de préparer le G20 qui s'est tenu le 18 et 19 juins à Los Cabos (Mexique)

- Le sommet européen a creusé un fossé entre l'Allemagne et la France, en effet, la presse allemande a dénoncé l'"arrogance" de François Hollande, qui a critiqué le modèle allemand. Le gouvernement allemand n'a pas apprécié l'attitude de François Hollande et notamment son insistance à introduire des euro-obligations (titres de dettes mutualisés). De plus, on observe une reprise de la compétitivité par le nouveau président français.
- Angela Merkel a déclaré qu'elle souhaitait travailler à une "union politique" en Europe, quitte à accepter une Europe à deux vitesses si certains pays bloquent. Elle a évoqué avec Barack Obama la nécessité de mesures pour renforcer la zone euro. Elle a cependant déclaré que le sommet de l'UE fin juin ne suffira pas à tout régler. Elle a également expliqué sa stratégie de croissance pour l'Europe, consistant à une consolidation budgétaire et à la croissance. Soulignant que cette croissance devait venir d'une compétitivité renforcée dans les différents pays de l'UE.

- Le 1er juin, les Irlandais ont dit "oui" à l'austérité budgétaire et ce à 60,3%. Le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, déjà signé le 2 mars par les chefs d'Etats et de gouvernements de 25/27 pays membres de l'UE (dont l'Irlande) est destiné à renforcer la confiance dans la zone euro en créant de nouveaux plafonds en matière de déficits pour chaque pays le ratifiant. Des restrictions budgétaires automatiques seraient imposées aux pays ayant dépassé ces limites. L'Allemagne, poids lourd de la zone euro, est le pays qui soutient le plus le traité, mais quasiment tous les partis politiques irlandais ont aussi fait campagne pour son adoption (l'Irlande est également le seul pays à avoir organisé un référendum pour la ratification).

- Dans une interview publiée dans un quotidien autrichien à trois jours des élections législatives, Marine Le Pen a déclaré souhaiter que l'UE s'effondre afin de pouvoir reconstruire un nouveau système. Et qu'avec l'euro, l'UE allait se disloquer.

- Le parti de droite grec Nouvelle Démocratie est arrivé en tête des élections législatives et se trouve en position de former un gouvernement de coalition avec le Pasok socialiste. La Nouvelle Démocratie remporte 29,5 % des voix, ce qui lui assurerait 128 sièges sur les 300 du parlement grec, contre 27,1 % des voix au parti de gauche radicale Syriza (72 sièges). Les socialistes du Pasok arrivent en troisième position avec 12,3 % des voix (33 sièges), selon les résultats basés sur 18 % des dépouillements annoncés par le ministère de l’Intérieur. (si vous avez le temps, lisez tout l'article, c'est quasis impossible à résumer, et les détails donnés pourront faire la différence Wink http://www.lesoir.be/actualite/monde/2012-06-17/grece-la-droite-en-position-de-former-un-gouvernement-avec-les-socialistes-921913.php )

- La Grèce a également voté POUR l'euro, ce qui a soulagé les dirigeants européens qui put tendu la main à Athènes pour faciliter la mise en oeuvre de réformes et la formation d'un gouvernement de droite pro-euro. (Nouvelle Democratie, voir point précédant). Les dirigeants européens ne cachaient pas leur préférence pour le dirigeant de droite Antonis Smaras et ont été rassurés par sa victoire face au leader de la gauche radicale Alexis Tsipras. Suite à ça, l'UE s'est déclarée prête à accorder de nouveaux délais à la Grèce. Les marchés ont salué la victoire de la droite (la peur de la sortie de l'euro de la Grèce en est quelque peu écartée) et les principales Bourses ont enregistré une nette hausse de l'euro qui s'est redressé face au dollar.

- Cependant, ce vote n'a pas rassuré les marchés financiers concernant la zone euros. Les taux d'emprunt de l'Espagne et de l'Italie ont atteint de nouveaux records, dépassant les 7% pour l'Espagne. Cette victoire n'écarte en effet que temporairement le spectre de sortie du pays de l'euro.

- Un autre article à lire en entier (sorry, mais l'actualité y'a des sujets d'actualité, si on les prend pas dans leur contexte, c'est pas terrible terrible … http://www.lesoir.be/actualite/monde/2012-06-19/rien-n-a-fondamentalement-change-en-grece-922220.php)


Election législative en france

- Majorité absolue du PS (et de ses proches alliés). Le PS et ses proches alliés (radicaux de gauche et divers gauche, sans compter les Verts) ont remporté une majorité absolue de 314 sièges sur 577, selon les résultats du ministère de l'Intérieur français.
Le PS a obtenu 280 sièges, les divers gauche 22, les radicaux de gauche 12, soit 314 sièges. EELV (les Verts) a 17 sièges, le Front de gauche 10 et les indépendantistes martiniquais 2 sièges, ce qui porte l'ensemble de la gauche à 343 sièges.
L'UMP a recueilli 194 sièges, le Nouveau centre et les divers centristes 14, les divers droite 15 et les radicaux 6, soit un total de 229 pour la droite. L'extrême droite en a trois, dont deux pour le FN (retour du FN à l'assemblée nationale), et le MoDem deux.
- François Hollande est, malgré cette victoire, maintenant attendu au tournant et doit tenir ses promesses (en ce qui concerne notamment la renégociation du traité d'austérité budgétaire européen, des politiques en faveur de la jeunesse ou encore de la réforme fiscale).
- "Echecs" de : (précisons que c'est pas du tout moi qui ait choisi de mettre tel ou tel candidat dans cette liste, j'ai tiré mes info du "soir")
– de Ségolène Royal (PS) à La Rochelle où elle était opposée au candidat dissident socialiste Olivier Falorni ;
– de François Bayrou (Modem), battu dans la 2e circonscription des Pyrénées-Atlantiques et qui, reconnaissant qu'il avait « perdu une bataille », a annoncé qu'il allait « changer la forme » de son engagement politique mais sans renoncer ;
– de Nadine Morano (UMP), nettement battue dimanche par son adversaire socialiste Dominique Potier, dans la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle, où elle était élue depuis 2002 ;
– de Jack Lang (PS), l'ancien ministre, battu dans les Vosges ;
– de Michèle Alliot-Marie (UMP), députée sortante et ancienne ministre, battue en Pyrénées-Atlantiques.
- "Victoires" de : (pareil qu'au dessus)
– de Gilbert Collard, élu dimanche député du Front national dans la 2e circonscription du Gard, qui a dit vouloir « faire entendre la voix d'un peuple qui en a assez », et exercer à l'Assemblée nationale « une mission de casse-couille démocratique » qui « ne laissera rien passer » ;
– de Marion Maréchal-Le Pen, 22 ans, petite-fille de Jean-Marie et nièce de Marine Le Pen, a été élue à Carpentras.
Louise
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Date d'inscription : 20/11/2011

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